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  • Photo du rédacteurAltair'X

Idée reçue N°2 : « L’amiante c’est du passé ! »


FAUX !


Bien que l’amiante soit interdit en France depuis le mois de janvier 1997, il reste de nombreux matériaux contenant de l’amiante dans nos bâtiments.

Regardons de plus près les toits ... levez le nez !

C’est un repérage facile à faire et qui engendre une réelle prise de conscience. Nous sommes tous concernés à un moment donné dans notre vie, professionnelle ou personnelle.


Le nombre de malades augmente chaque année : environs 2000 cas de mésothéliomes incurables, asbestose et autres cancers du poumon diagnostiqués.

Dans les années 90, les plaques en fibrociment amianté étaient en bon état. Au fil du temps, elles se détériorent et les fibres d’amiantes se dispersent. Pas étonnant donc que le nombre de malades liés directement à l’inhalation des fibres d’amiante soit en constante progression. On sait aujourd’hui qu’entre la première exposition et le diagnostic de la maladie, il peut se passer plusieurs dizaines d’années.


Si des mesures ont été prises pour limiter les risques d’exposition en milieu professionnel, aucune campagne d’information à destination du public n’a jamais été mise en place.

Les règlementations successives permettent de recenser les toitures amiantées et leur état, notamment à travers le DTA, rendu obligatoire depuis 2001. Trop peu de propriétaires l’ont fait ou mis à jour ; c’est pourquoi une date butoir au 31 janvier 2021 a été mise en place.


Aujourd’hui, nous avons la solution pour conserver en toiture les propriétés de l’amiante tout en maitrisant le danger pour l’homme et la dégradation du bâtiment. Nous vous apportons une réelle valeur ajoutée au travers de notre procédé de recouvrement Alt’Air Iso couplé d’un générateur photovoltaïque ENGIE : rénover votre toiture dans le cadre du développement durable.


L’amiante ne fait pas parti du passé, c’est bel et bien notre présent.

Si nous n’agissons pas, nous laisserons inévitablement cet héritage à nos enfants. Peut-être auront-ils déjà d’autres problèmes à régler ?

Capitalisons et parions sur les économies d’énergies, n’économisons pas notre

capital-santé!

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